Dans les médias

Canal Bernistap

(…) Le souterrain de Bernistap permet de se représenter ce qu’était la navigation intérieure au moment de l’indépendance belge, même si les bateaux n’y ont jamais navigué.
Elisabeth BRUYNS, Guillaume Ier, roi des canaux, dans Les Nouvelles du Patrimoine n° 151, avril-mai-juin 2016, p. 33.

Ancien collaborateur de la Maison des Auteurs à Bruxelles, Géry de Pierpont s’est lancé le défi quelque peu fou de rééditer son premier roman, La rivière contrariée, en tant qu’auteur auto-édité. Récit de son parcours plein de péripéties. (…)
Le parcours d’auteur auto-édité de Géry de Pierpont, interview de Stéphanie Michaux, dans les Lettres numériques, 12 septembre 2013

Des portraits saisissants des ouvriers du chantier de Bernistap. (…) C’est un des mérites de la fiction de permettre au lecteur de rentrer sans s’en rendre compte dans l’épaisseur de l’histoire. Enrober de chair et de sentiments des personnages qui n’existent plus aujourd’hui que par un nom sur une pierre tombale, les briques soigneusement maçonnées d’une ancienne écluse ou un rapport technique au papier jauni permet de les rendre proches, souvent attachants. Le défi était de rendre vie à tous ces protagonistes, en restant le plus fidèle possible au portrait que l’histoire nous a laissé de certains d’entre eux, comme l’ingénieur Rémi De Puydt.
La Rivière contrariée, dans Regards d’Ardenne, n° 1, mars-août 2012, cahier détachable pp. 1-6.

Le Bout du tunnel, reportage de Marc Oschinski pour l’émission Au Quotidien, RTBF, 18/11/2010.

L’Association des Écrivains belges de langue française (…) a attribué le prix Alex Pasquier du roman historique à Géry de Pierpont pour La rivière contrariée (Éd. Éole).
Têtes couronnées
, dans Le Carnet et les instants, n° 129, 30 septembre 2003, p.21.

Histoire véridique, (…) projet et travaux vécus par des personnages qui, sous la plume de notre lauréat, remarquablement bien documenté, interviennent avec un naturel, une évidence, tout à fait rares dans ce genre d’ouvrage. Car Géry de Pierpont, (…) s’il n’hésite pas à nous mettre l’excavatrice à bout de bras et de souffrance, nous montre aussi comment les hommes et les femmes de petite condition de ce temps-là, s’y prenaient pour rire, pleurer, aimer. (…) Le naturel, comme me le disait autrefois Jean Muno, tout est là. Soutenu par une documentation reposant sur des sources historiques et archéologiques, de plans relevés, de témoignages, d’observations sur le site, nous retrouvons ainsi grâce à Géry de Pierpont ce rêve englouti, pour notre plus grand intérêt !
Marie NICOLAÏ,
Le prix quinquennal Alex Pasquier, dans Nos Lettres, n° 8-9, septembre 2003, p. 25-26.

C’est dans les salons de la Maison des Écrivains que le prix Alex Pasquier honorant le roman historique a été remis le mercredi 18 juin à Géry de Pierpont, par France Bastia, présidente de l’Association des écrivains belges de langue française. Marie Nicolaï a présenté la Rivière contrariée (éd. Éole), « roman dans l’histoire » qui a retenu l’attention du jury composé de Marie Nicolaï, Irène Stecyk, Jean-Luc Godart, Emile Kesteman, Philippe Raxhon, réuni sous la présidence de France Bastia.
Communiqué de l’Agence Belga, 19 juin 2003.

L’épopée du Canal de Meuse et Moselle, dans Terre de Durbuy, Bulletin du Cercle historique de Durbuy, mars 2004, p.35-50.

Joseph BODSON, La rivière contrariée, dans Le Reflet de chez nous, janvier 2003, p.27-28.

Siège de la Société du Luxembourg à l'époque des travaux du Canal de Meuse et Moselle Photo (c) Benjamin StassenOn se trouve dans les pages de l’histoire du Canal de Meuse & Moselle racontée d’une manière magistrale par un licencié en Histoire de l’Art et Archéologie de l’ULg, conseiller à la Fondation Roi Baudouin, Géry de Pierpont.
Lily PORTUGAELS,
Le canal d’une épopée, dans Le site de la semaine, La Gazette de Liège, 23 septembre 2002, p.16.

L’histoire, quel roman ! Encore faut-il, pour mélanger efficacement le réel à la fiction, avoir une connaissance approfondie du passé. Archéologue de profession, Géry de Pierpont possède cette connaissance. Et il sait en user, faisant vivre des personnages qui ont existé et appelant à l’existence des êtres nés de son imagination fécondée par l’érudition. (…) Les rebondissements ne manquent pas, ni le suspens. Ajoutons que les traces de cette aventure de la technique et de l’audace existent encore. (…) Dans une sorte de postface, le romancier s’explique, citant ses sources, fournissant des éclaircissements. Il apparaît sérieux et passionné, consciencieux.
Jean MERGEAI,
Livres d’ici, L’Avenir du Luxembourg, 4 avril 2002.

C’est également au début du XIXe siècle que commence La Rivière contrariée, le premier roman de Géry de Pierpont. (…) Ce roman inaugure la collection Lieux-dits qui accueillera les fictions se déroulant en Ardenne. Il est paru aux éditions Éole dirigées par Bernard Charlot, qui voue sa maison à la valorisation du patrimoine historique et naturel de sa région.
Thierry LEROY,
D’une Ardenne à l’autre, Le Carnet et les Instants, n° 122, 15 mars 2002, pp 9-10.

Anne-Michèle CREMER, Un livre à lire !, Midi première (La Une – RTBF), 10 février 2002.

Géry de Pierpont est archéologue et il nous offre un tableau fourmillant de détails d’époque, dans une langue soutenue, qui séduira tous les amoureux du haut pays. De quoi leur donner peut-être l’envie de partir à la recherche des vestiges du canal, à l’aide des cartes jointes !
Thierry DETIENNE, Coups de coeurs, Livres, Imagine, n° 30, février 2002, p. 48.

(…) Un ouvrage passionnant (…), qui raconte l’histoire du canal de « Bernistap » dans un style teinté à la fois de romantisme et de réalisme.
Dominique DETREVES,
La rivière contrariée, Horizons nouveaux, décembre 2001-janvier 2002, p. 8.

La Rivière contrariée conjugue la rigueur d’une étude historique et la vitalité d’un roman d’action, et révèle pour la première fois le talent prometteur de Géry de Pierpont.
Est paru, Les Échos du Tourisme, décembre 2001, p.15.

Un récit précis et bien documenté. Géry de Pierpont sait y faire pour rendre l’ambiance et l’esprit du temps, qu’il s’agisse de la description du travail sur le chantier ou de celle de l’intérieur d’une auberge houffaloise.
Yves BASTIN,
Aventure : La Rivière contrariée, La Meuse-La Lanterne, 18 décembre 2001.

Construit sur une histoire authentique, ce roman raconte le projet fou d’hommes ingénieux et intrépides qui, vers 1830, entreprirent de joindre la Meuse à la Moselle par l’Ourthe et un canal sous le massif des Ardennes et échouèrent tout près du but.
Anne-Marie PIRARD, Document, L’école des années 2000, novembre-décembre 2001, p.10.

Avec La rivière contrariée, Géry de Pierpont nous reporte aux origines de la Belgique, dans les années 1830, époque où des financiers ont lancé un gigantesque chantier : la canalisation de l’Ourthe. À travers la fiction, la grande et la petite histoire se donnent rendez-vous.
Carmelo VIRONE,
Collections d’automne, Le Carnet et les Instants, n° 120, 15 novembre 2001, pp 24 et 49.

Anne-Michèle CREMER, Un livre à lire !, Zig Zag, Radio Bruxelles, 15 novembre 2001.

Anne-Michèle CREMER, Un livre à lire !, Matin Première (RTBF), 14 novembre 2001.

Le Journal du Jeudi, Luxembourg, 2001.

Roman d’action très bien documenté qui fait revivre les débuts de notre société industrielle avec ses brasseurs d’affaires, ses financiers, ses ingénieurs, ses ouvriers. La fiction romanesque nous donne à saisir dans le concret les enjeux industriels, économiques et politiques de la Belgique peu après son indépendance.
ALMEJAR,
Livres, Confluent, n° 296, novembre 2001.

L’histoire du canal de Bernistap est imprimée. Géry de Pierpont, jeune archéologue aux racines ardennaises, vient de lui consacrer un roman, chez Éole.
Andrée VERBEKE,
La grande aventure de Bernistap, L’Avenir du Luxembourg, 18 octobre 2001.

Gaëtane WARZE, G. de Pierpont, La Rivière contrariée, Les Échos du Patrimoine n° 25, octobre, novembre, décembre 2001, p. 15.

[Géry de Pierpont] a choisi de donner ici une forme romancée à ses recherches sur un audacieux projet qui échoua pas loin du but.
Paul VAUTE,
Lire – En deux mots – La Rivière contrariée, La Libre Culture, 10 octobre 2001.

[La Rivière contrariée] nous projette 170 ans en arrière, au cœur de la révolution industrielle. Une époque où les profits permettaient d’entrevoir des rêves fous, comme celui de relier la Meuse à la Moselle, en canalisant l’Ourthe. Un projet oublié. Mais pourquoi avoir enterré ce dossier porté par les plus grands financiers belges ? (…) Odeur de poudre et sabotages, guet-apens, intrigues financières et tentatives de séduction, voilà l’Ardenne aux prises avec les stratégies des premiers capitaines d’industrie.
Eric BURGRAFF,
La Roche : du neuf chez Éole, Le Soir, 29 août 2001.

Houffalize – Livres, L’Avenir du Luxembourg, 27 septembre 2001.

Géry de Pierpont fait la lumière sur le canal, entrepris en 1827 sous Guillaume Ier, qui aurait dû relier la Meuse au Rhin, avec un souterrain de plusieurs kilomètres creusés dans la roche.
Paul VAUTE,
Le rêve d’un canal sous les Ardennes, La Libre Belgique, 14 mars 2001.

Ce projet fou, mis en chantier en 1827 par un roi, un ingénieur de génie et une poignée d’hommes d’affaires audacieux, passionnera les élèves et les enseignants de la région de l’Ourthe.
Anne-Marie PIRARD,
L’épopée du canal de Meuse et Moselle, L’École des Années 2000, janvier/février 2001.

Pharaonique. Relier la Meuse au Rhin, projet incroyable que retrace Géry de Pierpont dans un roman à paraître et un site à consulter.
Sonia JEROME,
Le canal de Meuse-Moselle, une véritable épopée remise en lumière, La Libre Belgique – Gazette de Liège, 25 janvier 2001.

L’épopée du Canal de Meuse et Moselle, Les Échos du Patrimoine, janvier-février-mars 2001.

L’épopée du Canal de Meuse et Moselle, Info Presse, La-Roche-en-Ardenne, mars-avril 2001.

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